L'emploi de la conjonction åñëè et de la particule ëè

Èñïîëüçîâàíèå ñëîâ åñëè è ëè

 

Le mot ëè s’emploie pour renforcer la question ou exprimer l’incertitude dans la question.

La particule ëè ne se traduit pas en français dans une phrase simple.

Elle se place juste après le mot sur lequel porte la question, lui-même placé en tête de phrase.

Õîðîøèé ëè îí ÷åëîâåê? – Est-ce qu’il est un homme bien ?

Dans une phrase complexe ëè est traduite en français par si.

Èíòåðåñíî, áóäåò ëè çàâòðà äîæäü? - Je me demande s’il va pleuvoir demain.

 

L’équivalent français du mot åñëè est si.

Åñëè introduit la subordonnée conditionnelle qui peut précéder ou suivre la principale.

Åñëè òû áóäåøü ñâîáîäåí, ïîéä¸ì â òåàòð. - Si tu es libre, allons au théâtre.

 Ñ óäîâîëüñòâèåì ïîéäó, åñëè áóäó ñâîáîäåí. - J’irai avec plaisir si je suis libre.

A la différence du si français, le mot russe åñëè exprime uniquement une condition

et n’est jamais utilisé dans une question.

 

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